LE CRI D’AMOUR
La pluie et le violon pénètrent mon corps las de toutes ces barrières du conformisme humain. La liberté hurle sans fin par tous les pores et la créativité coule dans les veines, le dessein. La créatique de l’amour s’impatiente. Donne moi les outils pour laisser s’échapper le souffle d’imagination, mon âme en attente. Que le miroir s’effondre ! La fin d’un tableau décroché. Mon corps danse, la vibration exhale la passion. Les émotions accumulées, la haine, l’amour, la colère, berceau de la damnation, la joie, porte du Nirvana. La nuit, le jour. Je pose les premières pierres de ma destinée dans laquelle tu m’accompagnes ; je te tire, tu sautes. Les paupières tombent et le cœur gouverne l’énoncé, les morceaux d’un discours qui se veut sans faute.
