LE FOYER SE LOGE OU L’AMOUR SE PEINT
Le globe-trotter explore chaque contrée. D’un oeil captif, il boit les nouvelles cultures, qui, s’ouvrent à lui à intervalle marqué par l’escale, temps de pause de bonne augure. Les routes, bien souvent, infléchies; le chaland passe pour alléger l’itinérant, car, le nomade se sent tout avachi. Il est temps de marquer l’arrêt au tournant. La vie aspire ensuite à un entracte, pour partager les récits exotiques avec l’entourage, décomptant l’épacte des jours consumés sans lui, vides, bucoliques. La question, alors, se pose, du lieu, où, essoufflé, notre visiteur va s’ancrer. Coutumier de l’errance, le choix se veut impossible. Il est dubitatif et déboussolé. Pourtant, la réponse, obvie; il la connaît! Elle est inscrite au fond de son coeur en carence de l’Amour, de la famille, d’un ami et renaît lorsque auprès d’eux, il pose ses valises. Quelle délivrance!
